15e édition du Challenger BNP Paribas Primrose

15e édition du Challenger BNP Paribas Primrose

du 13 au 19 mai 2024

à l’occasion du 15 ème édition du Challenger BNP Paribas Primrose l’un des événements sportifs les plus importants de la région

1 tournoi 65 Joueurs 300 partenaires 30.000 visiteurs…

La galerie neilag s’associe à cet évènement sportif exceptionnel pour présenter une exposition, hors les murs, au sein du village partenaires :
3 artistes célèbreront le Printemps, sur le thème de la nature en mouvement

ART & SPORT C’est de l’art à soi, de l’image au regard, que se forge le sens du monde. Cette manière de transformer le réel, de le comprendre et de se l’approprier à mesure d’homme, est proprement condition de notre capacité à faire société. Le dialogue, l’échange, sont ainsi autant d’occasions et de prétexte de se renvoyer la balle . « Jeu, set et match ! » lancez vos sens et vos couleurs dans l’espace et sur la toile comme le joueur lance la balle et attend sa réception. Vaincre le set jusqu’au tie break, et faire de l’autre son interlocuteur raisonné : voilà les liens qui se dessinent entre art et sport, où l’esprit collectif et la quête de signification s’esquissent un instant, le temps d’un tournoi ou d’un regard, comme conversation interprétative et vœu d’affrontement.

…3 peintres 30 œuvres

Jean-Marc Brunet, “ Peindre c’est sentir intérieurement get non voir mentalement ”, www.jean-marc-brunet.com
Clotaire Lehoux“ Peindre est un mouvement permanent on ne s’arrête jamais ”  www.clotairelehoux.com
Constance de Maistre, “ Peindre, un processus pour retrouver gles traces mémorielles d’un paysage ”, www.constancedemaistre.com

Maison de la Culture Amiens

Maison de la Culture Amiens

Alexandra Oury Blaire

« Une certaine lumière vous prend très vite de plein fouet, à la gorge et à bras-le-corps, vous retournant, vous chamboulant l’esprit vers où, vers quoi, sinon une quête infatigable de dépayser le paysage. C’est-à-dire revivre en le réinventant sensoriellement tout ce qui nous traverse du visible et de l’invisible. Du macrocosme vivifié par le microcosme. Comme si des secrets attendaient sous l’humus et l’écorce de la forêt de Chassemy, de nous parler de notre germination à venir, au centre de la petite éternité de l’art ou de tout ce que nous laissons derrière nous après le grand départ. » Jean-Marc Brunet – MURMURATION DES SIGNES – Notes d’atelier. Textes de Dominique Sampiero (El Viso, 2023).

Dominique Sampiero était à la Maison de la Culture Amiens le 21.03.24, pour une lecture proposée dans le cadre de la remarquable exposition « Murmuration des signes » consacrée jusqu’au 28 mars au travail du peintre Jean-Marc Brunet. Composée de peintures et sculptures de l’artiste qui vit et travaille à Chassemy (Aisne), elle donne aussi à voir un magnifique florilège de ses livres d’artiste, témoins de son dialogue fertile avec l’écriture contemporaine. Michel Butor, Bernard Noël, Jean-Clarence Lambert, Jean Orizet, Yves Namur, Béatrice Marchal et bien d’autres, ont collaboré avec lui. Dominique Sampiero aussi bien sûr, qui n’a pas manqué de rappeler : « Il y a de l’amitié entre Jean-Marc Brunet et beaucoup de poètes, qui va au-delà du fait de faire des livres et d’écrire ensemble, c’est vraiment une amitié de l’être avec. Jusqu’au bout du chemin ».

Avant de lire des extraits de MURMURATION DES SIGNES (El Viso), et de Mon âme ne roule pas en Audi (L’herbe qui tremble, 2024), recueil où figurent onze dessins de l’artiste, le poète s’est exprimé ainsi : « il n’a jamais été question de mettre des mots sur la peinture de Jean-Marc Brunet, ni d’aucun peintre avec qui je travaille depuis des années. Mais de me laisser envahir – c’est ce que je vous souhaite – de me laisser habiter par la toile comme si cette toile aussi me regardait. Comme si cette toile m’embarquait dans sa propre présence. Comme s’il y avait – on peut délirer – de la conscience dans la peinture. Une conscience différée. Une conscience déplacée. Comme si un peu de moi devenait Nous. » Le temps a

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semblé suspendu pendant sa lecture et un peu au-delà. Dans un respectueux silence qui en disait long.

Arts Marseille

Arts Marseille

Hannibal a pratiqué, la photographie argentique. Un Leica très jeune pour commencer. Son seul joujou est désormais, son phone pour capter les scènes de rue. Le fait d’utiliser un téléphone lui permet de prendre des instants de vie des « impressions de rue ».

Il faut néanmoins préciser que si nous sommes de plus en plus nombreux à utiliser nos téléphones nous n’en sommes pas pour autant des photographes.

Il ne faut pas confondre nos photos qui sont des instants de vie, et quel bonheur et le monde de la photographie. Encore moins les confondre avec celles nommées, à juste titre Artistiques, certaines seront appelées, à perdurer, de manière si différentes, soit sur les murs d’une exposition, et nous le souhaitons; ou ceux d’un particulier, collectionneur ou pas, amateur de beau ou encore qui le sait, d’un musée, ou retrouveront leurs places, dans des portfolios ou des sites.

Alors comment faire la différence entre une photo d’amateur si belle soit-elle et les photos dites d’art.. .En fait, être photographe, c’est un œil particulier, être en capacité intellectuelle de saisir immédiatement le bon angle, la belle attitude, la pose. De les capter au sens de « captation » en « live »

Hannibal Renberg fait partie, lui, d’une génération du tout numérique, mais si il est passé du Leica à son smartphone c’est d’abord en allant de surprise en surprise et en constatant la qualité des photos, bref que son oeil était aussi certain malgré le changement d’appareil.

Emile Zola, Louis Aragon, Max-Pol Foucher, Pierre-Jean Jouve, Jean-Paul Sartre, Albert Londres, Blaise Cendrars et tous les poètes qui ont arpenté Paris ou Marseille ont écrit, décrit, raconté ce qu’ils voyaient, ce qu’ils ressentaient.

Hannibal Renberg s’est senti une même envie, toutes proportions gardées, avec le désir aussi de faire partager ses émotions, son humour, sa dérision par l’image. Ses photos intemporelles et hors de tout contexte local n’ont d’intérêt que par leque le spectateur leur porte. Un reflet de notre société. Sans autre ambition que d’étonner …

De faire passer des émotions de revenir à l’essentiel.

Le 28/02/2021

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Polka Magazine

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PÉPITES DʼINSTAGRAM

par Gilles de Venise

@leoleoparis

Féru de photographie depuis son plus jeune âge, lʼantiquaire Hannibal Renberg, 44ans,atoujours été attiré par lʼinattendu et lʼabsurde. Cʼest encore ce qui lʼinspire quand il s ebalade dans les rues de Paris. ” On y croise une foule de personnes décalées, hors normes. Un contraste avec un univers où la pub est omniprésente», explique-t-il. Cet œil singulier a déjà séduit 31700 fans et le magazine améri- cain ” Forbes», qui lʼa nommé parmi les quatre instagrameurs de rue à suivre.

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